Paroles d’alumni

Souvenirs
d'anciens

En tant que boursier Harriet Hale Woolley, j'ai beaucoup apprécié la communauté artistique dynamique de la maison et de la ville de Paris. En tant que peintre, j'adorais l'abondance de la lumière naturelle dans mon atelier, et en tant qu'artiste, j'ai bénéficié de la collaboration avec d'autres artistes et musiciens dans le bâtiment. Le soutien de la communauté de la FEU m'a amené à suivre des cours de français pendant mon séjour, ce qui m'a permis de présenter mon exposition Black(ness) is Beautiful en français lors du vernissage à la FEU. Je suis vraiment reconnaissant du temps que j'ai passé à la FEU avec la communauté d'amis que j'ai gagnée à Paris et dans le monde entier. Je penserai toujours à cette merveilleuse année avec une nouvelle perspective sur la vie et sur l'art.
Alteronce Gumby

Artiste en résidence 2016-2017

Vivre à la Fondation des États-Unis, c’était le plaisir de se retrouver entre musiciens, peintres, sculpteurs, photographes, et tout autre art visuel. Chaque atelier du 5ème étage, les arts visuels à gauche et les musiciens à droite, séparés par un long couloir, partageaient leur arts: musique de chambre, composition expérimentale, peinture, sculpture… Durant toute l’année.
C’était aussi la chance de pouvoir regarder le matin sur la terrasse, le soleil se lever et ensuite de choisir son petit déjeuner à travers l’espace-temps dans un pays choisi, en dix minutes de marche seulement, dans le parc de la Cité internationale. C’était la richesse inouïe de la diversité, de la curiosité et de l’amitié du Monde entier.
Bertille de Baudinière

Artiste en résidence 1983-1985

Une des meilleures choses qui me soient arrivées pendant mes années à Paris en tant qu’étudiant a été la découverte de la Cité internationale universitaire de Paris (CiuP). En tant que résident j’ai pu rencontrer et travailler avec des étudiants aux horizons divers et variés. J’ai pu également profiter de la vie culturelle et sociale à la CiuP, tellement riche et vibrant.
J’ai vécu pendant deux ans à la Fondation des États-Unis (FEU). Durant mon séjour, j’ai participé régulièrement à la fois aux activités de ma maison et à celles d’autres maisons sur le campus. Ces expériences m’ont permises de développer plusieurs amitiés profondes et de longue durée. Cet univers de diversité m’a profondément marqué car elle m’a amené à travailler plus tard à l'Organisation de Coopération et de Développement Économiques à Paris, puis au « International Monetary Fund » à Washington, D.C.
C’est un plaisir et une fierté de servir sur le Conseil d’Administration de la Fondation des États-Unis, où nous nous engageons à préserver un environnement propice à la création de liens entre nos jeunes étudiants internationaux de talent.
Lee Samuelson

Résident 1968-1969 / Membre du CA de la FEU

Mon séjour à la Fondation des États-Unis à Paris a été l’une des meilleures expériences de ma vie. Imaginez-vous à 23 ans vivre dans un studio au dernier étage avec des fenêtres immenses et une vue imprenable sur le parc. C’est le rêve de tout artiste. Chaque jour, je peignais ou dessinais avec pour arrière-fond l’harmonie d’un saxophone, d’un piano ou d’un chanteur qui pratiquait dans son studio, et je faisais des pauses pour admirer le parc Montsouris.
Judy Thomas

Artiste en résidence 1983-1984

L'année que j'ai passée comme boursier Harriet Hale Woolley à la FEU m'a été tout simplement indispensable. Elle m'a permis de poursuivre ce que j'avais déjà entamé dans mon adolescence : des études auprès de la grande Nadia Boulanger, avec qui j'avais beaucoup travaillé pendant cinq sessions estivales au Conservatoire Américain de Fontainebleau. Au printemps, j'ai fait mes débuts à Paris dans la prestigieuse salle Gaveau et à la fin de cette année-là, lors du récital que j'ai donné à la FEU. J'ai pu inclure une œuvre écrite pour moi, qui m'a été dédiée par un compositeur français que j'ai rencontré grâce à nos débuts parisiens. La trajectoire de l'étudiant au professionnel a été tout à fait naturelle et le rôle de la FEU dans tout cela est inestimable.
Jay Gottlieb

Musicien en résidence 1975-1976

Mon séjour à la FEU a changé ma vie. Avant de recevoir la bourse, je travaillais dans un bureau à New York pendant un an après l’obtention de mon diplôme de l’école d’art. Le fait d’être à la FEU a contribué à forger des habitudes qui m’ont par la suite permis de devenir une artiste professionnelle.
Jennifer May Reiland

Artiste en résidence 2012-2013

Lors de mon séjour à la FEU, j'ai découvert les joies de l'atelier de l'artiste parisien. Plein de courants d'air et de bruit, il n'était guère parfait. Mais le fait d'être entouré d'étudiants créatifs m'a donné envie de travailler plus, de pratiquer plus et de faire la fête plus souvent, probablement au grand regret de mes voisins. Les repas bon marché au Resto U signifiaient beaucoup à cette époque de ma vie. Parmi d'autres grands projets, j'ai fondé un magazine d'avant-garde avec les encouragements du directeur de l'époque, et j'ai lancé un ensemble musical qui allait plus tard tourner en Allemagne, en France et aux Pays-Bas. Tout cela n'aurait pas été possible sans la FEU.
Guy Livingston

Musicien en residence 1992-1993

Mon séjour à la CiuP et plus particulièrement à la Fondation des États-Unis m’est profondément précieux. Les années que j'y ai passées en tant qu'étudiante en master (en relations internationales) m'ont permis de rencontrer des étudiants venant des quatre coins du monde et d'interagir avec eux au quotidien - idéal pour toute personne vraiment intéressée par l’ouverture culturelle et les relations internationales… Qu'il s'agisse de cuisiner ensemble tout en discutant des apports de telle ou telle philosophie, ou qu’il s’agisse de débattre des mérites des théories réalistes ; ou tout simplement d’appréciez un après-midi autour d'un pique-nique allongé sur la pelouse de la CiuP. ou d'un jogging au crépuscule. J’ai également rencontré la personne la plus importante de ma vie (que j’épousa plus tard) lors de mon passage par la FEU, et ceux grâce au but et à l’esprit de la CiuP : celui de réunir des personnes de cultures diverses. Pour cela, je serai éternellement reconnaissante. Mon appréciation pour la FEU, cependant, ne serait pas complète sans mentionner ses nombreux espaces d'études, ou j’ai passé des nuits entières. Aujourd’hui encore je cherche toujours une bibliothèque similaire, ouverte à toute heure, pleine d'histoire, et d'étudiants inspirés qui cherchent à élargir leurs esprits et leurs horizons. Ces années passées à la CiuP auront marqué à jamais ma vie.
Tierra McMahon

Résidente 2009-2012

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